La culture Kanak

Un petit peu d’histoire pour ouvrir ce nouvel article !
Quand on arrive dans un nouveau « pays » il est important aussi, de se renseigner et d’apprendre les coutumes et l’histoire de ce pays. Pour la Calédonie donc, nous avons commencé par les habitants et leurs coutumes. Voici un résumé sur ce sujet. Si vous voulez en savoir plus, il suffit d’aller sur ce site :Un peu d’histoire« La culture kanak traditionnelle repose sur le clan et sur la coutume, un ensemble de rites, de rituels et de rapports sociaux entre clans. Il est essentiel de respecter ces traditions, en faisant notamment la “coutume”, c’est à dire en offrant un petit présent (cigarettes, billets de banque, manou qui est l’équivalent du paréo…) au chef de la tribu lorsque vous lui rendez visite et en demandant systématiquement son autorisation lorsque vous vous rendez dans certains lieux qui peuvent être “tabous”. Autre tradition à respecter : saluez systématiquement, encladochesn néo-caledonien faisant un signe de main, tous ceux que vous croisez.
Pour les Kanak, la danse revêt une importance spirituelle et artistique. Le pilou est une danse traditionnelle qui raconte les naissances, les mariages, les cyclones et les préparatifs guerriers. Les sculptures en bois, aux formes symboliques, incarnaient jadis les esprits. La flèche faîtière, sorte de petit totem qui ornait la maison abritant les esprits des ancêtres, en est l’exemple le plus répandu.
Les Caldoches, Néo-Calédoniens blancs, descendent pour la plupart des prisonniers déportés sur l’île au XIXe siècle. Amateurs de rodéos et de “coups de chasse”, leur mode de vie se rapproche plus de celle des fermiers australiens ou américains que des Français de la métropole. Les grandes foires, dont la plus célèbre est celle de Bourail organisée en août, permettent de découvrir cette culture particulière. »« Les Wallisiens et Futuniens forment la troisième communauté en termes d’importance au sein de la population de la collectivité sui generis française de Nouvelle-Calédonie, après les Kanak (Mélanésiens natifs de l’archipel) et les descendants d’Européens (dits « Caldoches ») Issus de plusieurs vagues d’immigration depuis les années 1940 mais aussi d’une forte natalité au sein de cette population, ils sont désormais plus nombreux qu’à Wallis-et-Futuna. Avec 21 262 individus en 2009, ils représentent 8,66 % de la population totale de l’archipel. »Maintenant que vous en savez plus sur la Caledonie et ses habitants, nous pouvons donc en venir, à une de nos visite, le Centre Culturel Tjibaou, destiné à promouvoir la culture Kanak. Son nom lui a été attribué en hommage au chef indépendantiste kanak Jean-Marie Tjibaou.

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Magnifique lieu, d’architecture, et mine d’information pour les pauvre ignorants que nous sommes encore, avides d’apprendre tout ce que l’on peut sur ce « caillou » qu’est la Calédonie.

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Maëlys qui est une fan des musées, quel qu’il soit, était aux anges.

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Quant a Louise, cela lui a suffit à en prendre plein les yeux, car le lieu est magnifique, surtout qu’il comporte toute une partie extérieur.

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Nous en avons donc pris plein les mirettes es en plus d’apprendre plein de choses, de découvrir les danses, les costumes et les coutumes des Kanaks.

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A très bientôt pour le prochain article!!!

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